INTRODUCTION
Les machines triphasées à courant alternatif dominent très largement le domaine industriel, mais depuis longtemps déjà on s’intéresse aux machines ayant un nombre de phase supérieur à trois appelées machines multiphasées. Elles peuvent être classées en deux types, le premier type où les machines ont un nombre impair de phases reliés à un seul neutre, décalée d’un angle régulier entre phases adjacentes (pentaphasée, 7-phases…), les machines polyétoile représentent le deuxième type.
Dans ce chapitre, nous allons étudie la machine synchrone double étoile, qui n’est pas un système simple car de nombreux phénomènes compliqués interviennent dans son fonctionnement. Cependant, nous allons négliger ces phénomènes, d’une part à cause de sa complexité de leur formulation mathématique, d’autre part leur incidence sur le comportement pour la machine sont considérées comme négligeable dans certaine condition.
Ceci nous permette d’obtenir des équations simples, qui traduisent fidèlement le fonctionnement de la machine.
DESCRIPTION DE LA MSDE
La machine qui fera l’objet de notre travail est une machine synchrone à double étoile constitue d’un stator et d’un rotor comme le montre la figure I.1. Le stator "induit"est constitue de deux enroulement triphasés décalés entre eux d’un angle
A1, B1, C1 : phases du premier stator.
A2, B2, C2 : phases du second stator.
θ: angle électrique entre la phase A1 et la position du rotor.
L’inducteur est constitué d’un enroulement alimenté en continu et d’amortisseurs modélisés par deux enroulements en court circuit, dont l’un sur l’axe direct du rotor et l’autre en quadrature. Le rotor peut être à pôle lisse ou à pôle saillant. [MOU 06]
La machine étudie est suppose être à rotor bobine et à pôle saillant sans amortisseurs.
LES HYPOTHESES DE TRAVAIL
Pour l’établissement du modèle de la machine synchrone double étoile on a adopté les hypothèses simplificatrices suivant :
Les forces magnétomotrices ont une répartition sinusoïdale.
Les mutuelles inductances ne sont caractérisées que par leur fondamental.
La saturation du circuit magnétique est négligée.
Les deux étoiles sont strictement identiques, isolées électriquement.
L’effet de peau qui augmente les résistances et réduit les inductances est négligées.
Les pertes fer sont négligées (hystérésis et courant de Foucault).
Les machines triphasées à courant alternatif dominent très largement le domaine industriel, mais depuis longtemps déjà on s’intéresse aux machines ayant un nombre de phase supérieur à trois appelées machines multiphasées. Elles peuvent être classées en deux types, le premier type où les machines ont un nombre impair de phases reliés à un seul neutre, décalée d’un angle régulier entre phases adjacentes (pentaphasée, 7-phases…), les machines polyétoile représentent le deuxième type.
Dans ce chapitre, nous allons étudie la machine synchrone double étoile, qui n’est pas un système simple car de nombreux phénomènes compliqués interviennent dans son fonctionnement. Cependant, nous allons négliger ces phénomènes, d’une part à cause de sa complexité de leur formulation mathématique, d’autre part leur incidence sur le comportement pour la machine sont considérées comme négligeable dans certaine condition.
Ceci nous permette d’obtenir des équations simples, qui traduisent fidèlement le fonctionnement de la machine.
DESCRIPTION DE LA MSDE
La machine qui fera l’objet de notre travail est une machine synchrone à double étoile constitue d’un stator et d’un rotor comme le montre la figure I.1. Le stator "induit"est constitue de deux enroulement triphasés décalés entre eux d’un angle
A1, B1, C1 : phases du premier stator.
A2, B2, C2 : phases du second stator.
θ: angle électrique entre la phase A1 et la position du rotor.
L’inducteur est constitué d’un enroulement alimenté en continu et d’amortisseurs modélisés par deux enroulements en court circuit, dont l’un sur l’axe direct du rotor et l’autre en quadrature. Le rotor peut être à pôle lisse ou à pôle saillant. [MOU 06]
La machine étudie est suppose être à rotor bobine et à pôle saillant sans amortisseurs.
LES HYPOTHESES DE TRAVAIL
Pour l’établissement du modèle de la machine synchrone double étoile on a adopté les hypothèses simplificatrices suivant :
Les forces magnétomotrices ont une répartition sinusoïdale.
Les mutuelles inductances ne sont caractérisées que par leur fondamental.
La saturation du circuit magnétique est négligée.
Les deux étoiles sont strictement identiques, isolées électriquement.
L’effet de peau qui augmente les résistances et réduit les inductances est négligées.
Les pertes fer sont négligées (hystérésis et courant de Foucault).
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