Afin d’obtenir des coefficients constants dans les équations différentielles, la
transformation de Park est utilisée. Cette transformation est ancienne (1929) et si elle
redevient à l’ordre du jour, c’est tout simplement parce que les progrès de la technologie des
composants permettent maintenant de la réaliser en temps réel.
Physiquement, on peut la comprendre comme une transformation des trois enroulements de la
MAS à seulement deux enroulements, comme la montre la figure (1.2)
Transformation de Park
La transformation de Park est constituée d'une transformation triphasée - diphasée
suivie d'une rotation. Elle permet de passer du repère abc vers le repère mobile dq.
Pour chaque ensemble de grandeurs (statoriques et rotoriques), on applique la transformation
de Park. Pour simplifier les équations, et par conséquence le modèle, les repères de la
transformation de Park des grandeurs statoriques et celle des grandeurs rotoriques doivent
coïncider. En effet, si l'on note par θs (resp. par θr) l'angle de la transformation de Park des
grandeurs statoriques (resp. rotoriques) (figure 1.3), ceci se fait en liant les angles θs et θr par
la relation :
θr+θs =q
Les amplitudes directe (d) et en quadrature (q) des grandeurs statoriques et rotoriques sont
fictives ; les équivalences pour ces grandeurs avec les grandeurs par phase sont comme suit
[2] :
Ces équations précédentes peuvent être appliquées aussi pour n’importe quelles autres
grandeurs telles que les courants et les flux.
transformation de Park est utilisée. Cette transformation est ancienne (1929) et si elle
redevient à l’ordre du jour, c’est tout simplement parce que les progrès de la technologie des
composants permettent maintenant de la réaliser en temps réel.
Physiquement, on peut la comprendre comme une transformation des trois enroulements de la
MAS à seulement deux enroulements, comme la montre la figure (1.2)
Transformation de Park
La transformation de Park est constituée d'une transformation triphasée - diphasée
suivie d'une rotation. Elle permet de passer du repère abc vers le repère mobile dq.
Pour chaque ensemble de grandeurs (statoriques et rotoriques), on applique la transformation
de Park. Pour simplifier les équations, et par conséquence le modèle, les repères de la
transformation de Park des grandeurs statoriques et celle des grandeurs rotoriques doivent
coïncider. En effet, si l'on note par θs (resp. par θr) l'angle de la transformation de Park des
grandeurs statoriques (resp. rotoriques) (figure 1.3), ceci se fait en liant les angles θs et θr par
la relation :
θr+θs =q
Les amplitudes directe (d) et en quadrature (q) des grandeurs statoriques et rotoriques sont
fictives ; les équivalences pour ces grandeurs avec les grandeurs par phase sont comme suit
[2] :
Ces équations précédentes peuvent être appliquées aussi pour n’importe quelles autres
grandeurs telles que les courants et les flux.
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