Les transistors bipolaires simples présentent souvent des valeurs de leurs gains en courant
b de l’ordre de centaines voire même de l’ordre de dizaines quand il s’agit de transistors de puissances. Les impédances d’entrées se trouvent donc limitées. Or, souvent, on cherche à avoir des impédances d’entrées élevées : c’est le cas par exemple dans l’étage d’entrée d’un amplificateur opérationnel, dans un régulateur de tension et dans certains amplificateurs de puissances. L’une des solutions consiste à utiliser des transistors Darlington. Un transistor dit « Darlington » est en réalité une association de deux transistors dont l’émetteur du premier alimente la base du deuxième. Cette configuration permet d’avoir des valeurs de b très élevées. En effet, le courant émetteur du transistor T1 est le courant base du transistor T2.
b de l’ordre de centaines voire même de l’ordre de dizaines quand il s’agit de transistors de puissances. Les impédances d’entrées se trouvent donc limitées. Or, souvent, on cherche à avoir des impédances d’entrées élevées : c’est le cas par exemple dans l’étage d’entrée d’un amplificateur opérationnel, dans un régulateur de tension et dans certains amplificateurs de puissances. L’une des solutions consiste à utiliser des transistors Darlington. Un transistor dit « Darlington » est en réalité une association de deux transistors dont l’émetteur du premier alimente la base du deuxième. Cette configuration permet d’avoir des valeurs de b très élevées. En effet, le courant émetteur du transistor T1 est le courant base du transistor T2.
On trouve aussi un type de montage dit « Darlington complémentaire ». Le principe d’un tel
montage consiste à injecter le courant collecteur d’un transistor
d’un transistor du type PNP, sur la baseT2 de type NPN. Ce montage fonctionne comme un transistor PNP avec un gain en courant :
b = b1b2.
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